L’attente fût si longue. Tout le monde, les équipes, l’organisation, le public, la presse, se faisaient impatients. Ce matin, Pau s’est réveillé sous un chaud soleil d’hiver. Là, dans la main d’une vallée cerclée par les Pyrénées, le grand jour est arrivé. Début d’après-midi. Et déjà, c’est l’effervescence autour du Palais des sports. Les spectateurs sont là. Ils affluent, chantent, rient. Nous y sommes. 15h45. Une douce mélodie succède aux chants joyeux des supporteurs. Sous les applaudissements, une troupe d’artistes investit le terrain. Un frisson parcourt la salle. Nous y sommes vraiment. La grande fête du handball féminin. André Amiel, président de la fédération française de handball a simplement conclu la cérémonie par un très juste « que la fête commence ».
L’attente fût si longue. Tout le monde, les équipes, l’organisation, le public, la presse, se faisaient impatients. Ce matin, Pau s’est réveillé sous un chaud soleil d’hiver. Là, dans la main d’une vallée cerclée par les Pyrénées, le grand jour est arrivé. Début d’après-midi. Et déjà, c’est l’effervescence autour du Palais des sports. Les spectateurs sont là. Ils affluent, chantent, rient. Nous y sommes. 15h45. Une douce mélodie succède aux chants joyeux des supporteurs. Sous les applaudissements, une troupe d’artistes investit le terrain. Un frisson parcourt la salle. Nous y sommes vraiment. La grande fête du handball féminin. André Amiel, président de la fédération française de handball a simplement conclu la cérémonie par un très juste « que la fête commence ».