Le match, sans rythme, a failli basculer, à plusieures reprises , dans le camp de l’Est et, à chaque fois, par des actions individuelles, la France a rétabli la situation.

De trés nombreux échecs aux tirs, d’inconcevables maladresses et une inhabituelle atonie ont perturbé le parcours des Bleues, ouvrant ainsi la porte à un insoutenable suspens, ponctué, à la mi-temps, d’un plus 2 pour nos couleurs…vite anihilé, à la reprise, par une passivité en défense qui n’était pas de mise.

L’entraîneur français, Olivier Krumbholz a varié, plus que de coutume, son 7 majeur recherchant, en celà, la meilleure carburation et surtout une attaque plus performante. La défense, en début de partie, agressive et dynamique, s’est ensuite endormie, laissant la place à de coupables fautes…pas toujours exploitées par nos adversaires du jour qui, il faut le dire, ne sont pas les meilleures ici à Pékin…

Mais, au bout du compte, si on se contentait de cette nouvelle victoire( ? ) plaçant les Bleues idéalement pour la qualification aux quarts de finale. .. en attendant d’autres plus éclatantes victoires au sommet de notre parcours vers la conquète de l’OR.