« En avoir ou pas… »Etre ou ne pas être performant? L’apostrophe(détournée) d’Hamlet n’empêche pas le coach français et les joueuses de l’équipe de France de dormir dans la tordeur humide et orageuse d’une nuit pékinoise.


Pourtant, après avoir assisté à la profonde défaite des Bleues contre la Roumanie, on pouvait penser que cette maxime éternelle taraudait les cerveaux des arrières et des ailières…que nenni…Il y a celles et ceux tenant de l’espoir à moitié vide et celles et ceux(dont Olivier Krumbholz) qui sont sûrs de la réussite à moitié pleine…en clair, les sceptiques et les satisfait!

Après avoir rencontré et longuement disserté avec Olivier, il a réussi à nous convaincre que ses joueuses pouvaient réaliser un(et plusieurs) exploit, en particulier contre la Norvège, demain…

Les joueuses bleues sont capables de se remotiver mais sans assurance de résultats. L’application à la lettre du projet du coach n’est pas, non plus, une garantie de redressement de l’équipe. Tout, semble t il se joue dans la tête…c’est ainsi que les sceptiques ont raison tandis que les satisfait n’ont pas totalement tord !

Comment peut on redonner espoir au camp français? En étant plus dynamique et plus attentif en défense, en assurant à la fois un bloc sans fissure et une vigilance individuelle maxima.En privilégiant la montée de balle et la réussite en fin de course. En étant attentif à nos engagements offensifs et à nos possibilités de réussite aux tirs.

Nous y voilà ou presque…la chaleur, les orages, la pollution n’y feront rien. L’équipe de France, il faut le rappeler, est qualifiée pour les Quarts de finale mais de bonnes prestations contre la Norvège et la Chine redonneraient du baume au coeur et feraient passer un grand pourcentage de sceptiques dans le camp des satisfait !