La statistique parle d?elle-même. Aucune équipe française n?était jamais allée s?imposer sur un parquet danois en Ligue des Champions. La résonance du succès acquis par les Toulonnaises, samedi, à Randers, n?en est que plus délectable. Face au bras démoniaque de Camilla Dalby et sa troupe, celle de Siraba Dembélé avait pourtant eu des difficultés à entrer dans la partie. « Elles y sont allées avec la peur au ventre« , pointe Thierry Vincent, le technicien varois. Malin qu?il est, il a très rapidement posé son temps mort, pour recadrer les choses. « Je les ai un peu secouées et elles se sont libérées« . Les Danoises, secondes de la Ligue nationale et sans doute piquées au vif de s?être inclinées quelques jours auparavant face à Aalborg en championnat, ont pourtant résisté. Mais le duo Mwasesa-Gondo n?a eu de cesse de les punir, alors que Bettacchini, dans ses oeuvres, sortait des ballons importants pour préserver l?écart. « J?ai fait peu de changements, et on a eu un petit coup de mou en début de seconde période. Mais c?est une belle victoire« , ponctue encore Vincent. Un résultat mérité, tant les championnes de France ont dominé physiquement et tactiquement les échanges. « J?avais dit aux filles que les deux premiers matchs, c?était pour voir, comme au poker. Et que celui-là, c?était pour être payé ! Les deux jours que nous avons passés ici avant la rencontre ont été bien mis à profit. Beaucoup pensait qu?on allait prendre six fois dix buts, maintenant, on va peut-être nous dire qu?on peut jouer la deuxième place. Je reste sur ma position. On va jouer les matchs les uns après les autres. Et je pense déjà au championnat et à la réception de Metz qui sera, pour nous, un des tournants de la saison« .Désormais troisième du groupe C de la Ligue des Champions, à égalité de points avec Randers et Valcea, Toulon a certainement un coup à jouer. Derrière une équipe de Larvik logiquement dominatrice, les places sont à prendre et la rencontre, en terre varoise face à Valeca le 7 novembre, promet d?être chaude?
La statistique parle d?elle-même. Aucune équipe française n?était jamais allée s?imposer sur un parquet danois en Ligue des Champions. La résonance du succès acquis par les Toulonnaises, samedi, à Randers, n?en est que plus délectable. Face au bras démoniaque de Camilla Dalby et sa troupe, celle de Siraba Dembélé avait pourtant eu des difficultés à entrer dans la partie. « Elles y sont allées avec la peur au ventre« , pointe Thierry Vincent, le technicien varois. Malin qu?il est, il a très rapidement posé son temps mort, pour recadrer les choses. « Je les ai un peu secouées et elles se sont libérées« . Les Danoises, secondes de la Ligue nationale et sans doute piquées au vif de s?être inclinées quelques jours auparavant face à Aalborg en championnat, ont pourtant résisté. Mais le duo Mwasesa-Gondo n?a eu de cesse de les punir, alors que Bettacchini, dans ses oeuvres, sortait des ballons importants pour préserver l?écart. « J?ai fait peu de changements, et on a eu un petit coup de mou en début de seconde période. Mais c?est une belle victoire« , ponctue encore Vincent. Un résultat mérité, tant les championnes de France ont dominé physiquement et tactiquement les échanges. « J?avais dit aux filles que les deux premiers matchs, c?était pour voir, comme au poker. Et que celui-là, c?était pour être payé ! Les deux jours que nous avons passés ici avant la rencontre ont été bien mis à profit. Beaucoup pensait qu?on allait prendre six fois dix buts, maintenant, on va peut-être nous dire qu?on peut jouer la deuxième place. Je reste sur ma position. On va jouer les matchs les uns après les autres. Et je pense déjà au championnat et à la réception de Metz qui sera, pour nous, un des tournants de la saison« .Désormais troisième du groupe C de la Ligue des Champions, à égalité de points avec Randers et Valcea, Toulon a certainement un coup à jouer. Derrière une équipe de Larvik logiquement dominatrice, les places sont à prendre et la rencontre, en terre varoise face à Valeca le 7 novembre, promet d?être chaude?