Chaque joueuse est désormais responsable d’un secteur. « L’organisation, pour les horaires et le matériel. Les loisirs, pour les parties de cartes ou de consoles vidéos ; la mode, pour choisir les dotations, les tenues à porter. Il y a des ministres et des secrétaires d’État ! », explique Raph’, Premier ministre de cet organigramme épaulée par Nina Kanto, deuxième ministre. Ensuite, six ministères ont été constitués : l’organisation, l’événementiel, les loisirs, le jeu, revendications et mode. Chaque joueuse s’est vue attribuer un rôle dans un des ministères. Un système déjà pensé à Pékin, mais qui a réellement vu le jour à la World Cup, au Danemark.
Chaque joueuse est désormais responsable d’un secteur. « L’organisation, pour les horaires et le matériel. Les loisirs, pour les parties de cartes ou de consoles vidéos ; la mode, pour choisir les dotations, les tenues à porter. Il y a des ministres et des secrétaires d’État ! », explique Raph’, Premier ministre de cet organigramme épaulée par Nina Kanto, deuxième ministre. Ensuite, six ministères ont été constitués : l’organisation, l’événementiel, les loisirs, le jeu, revendications et mode. Chaque joueuse s’est vue attribuer un rôle dans un des ministères. Un système déjà pensé à Pékin, mais qui a réellement vu le jour à la World Cup, au Danemark.