La grande arrière des Bleues nous a confié ses impressions sur la réaction du groupe après la lourde défaite face aux Russes avant de parler de la Norvège, que la France joue ce mardi.


Une défaite de onze buts, ce n’est jamais agréable à encaisser. Comment a réagi le groupe ?
On ne pensait pas se prendre une telle claque. Il y a plutôt une bonne réaction. Personne n’a envie de revivre la même chose face à la Norvège (ce soir). Ca permet de remobiliser les troupes parce que c’est vrai qu’il y a eu une baisse de régime sur le match de la Russie. Et puis on s’accroche. Le plus important, ça reste le quart de finale. On va profiter du match face à la Norvège pour mieux se préparer pour la suite et donner une meilleure image de l’équipe de France.

C’est important de montrer qu’on est en mesure de rivaliser avec les plus grandes équipes ?
Oui, c’est important. Mais ce ne sera pas pour autant la fin du monde si on perd contre la Norvège. Il ne faut pas qu’on se prenne une autre claque non plus. Il faut qu’on soit plus rigoureuses et plus engagées comme face à la Macédoine.

Quelles conséquences pourrait avoir une autre grosse défaite ?
Aucune je pense. La compétition ne sera pas terminée pour autant!Il faut continuer à travailler et ne pas se laisser abattre par une défaite. Si on perd (ce soir), ça ne nous empêchera pas de faire un super match en quart.