« On voulait que la fête soit belle. Ce soir, je sais qu’on retiendrait que c’était une aventure extraordinaire !« , se réjouit Francis Nouguez. Lui, comme tous les membres de l’organisation, comme les 250 bénévoles présents pendant trois jours, peut se targuer d’avoir fait un magnifique cadeau aux Bleues et au handball. Les Filles n’ont pas été avares de compliments. Usant toujours de superlatifs à l’évocation de l’ambiance incroyable qui les a accompagnées durant trois jours. Pourtant, tout n’a pas été simple. Transformer une salle de basket en salle de handball n’est pas chose aisée. Dès le match terminé hier, tous se sont affairés pour redonner au Palais des Sports ses couleurs basket-ball. « Je crois qu’il va y avoir un grand vide demain », confie, déjà mélancolique, Francis. Sans doute. Mais l’histoire retiendra que c’est ici, à Pau, que les Bleues de 2007 ont pris leur envol.
« On voulait que la fête soit belle. Ce soir, je sais qu’on retiendrait que c’était une aventure extraordinaire !« , se réjouit Francis Nouguez. Lui, comme tous les membres de l’organisation, comme les 250 bénévoles présents pendant trois jours, peut se targuer d’avoir fait un magnifique cadeau aux Bleues et au handball. Les Filles n’ont pas été avares de compliments. Usant toujours de superlatifs à l’évocation de l’ambiance incroyable qui les a accompagnées durant trois jours. Pourtant, tout n’a pas été simple. Transformer une salle de basket en salle de handball n’est pas chose aisée. Dès le match terminé hier, tous se sont affairés pour redonner au Palais des Sports ses couleurs basket-ball. « Je crois qu’il va y avoir un grand vide demain », confie, déjà mélancolique, Francis. Sans doute. Mais l’histoire retiendra que c’est ici, à Pau, que les Bleues de 2007 ont pris leur envol.